J’ai taillé une pipe au concierge

J’ai taillé une pipe au concierge

5 février 2021 0 Par jeune-cochonne

Je m’appelle Julie, j’ai 25ans. Je suis célibataire et j’ai récemment décroché mon premier emploi. Jusqu’au mois passé, je vivais encore chez mes parents. Mais j’ai décidé de déménager, de voler de mes propres ailes. Plusieurs raisons m’ont poussé à prendre cette décision, mais le principal est le manque d’intimité dont je souffrais. En effet, impossible de ramener des mecs dans ma chambre sans entendre les réprimandes de mon père. Résultat : je n’ai connu que très peu d’hommes et aucun ne ressortait vraiment du lot. Je ne me serais jamais doutée que ces années de frustration s’envoleraient peu de temps après avoir emménagé.

Nouvel appartement, nouvelle vie, nouveau concierge…

Mes parents avaient eu la chance d’avoir un bon emplacement et une maison à un prix abordable. J’ai donc vécu 25 années dans un domicile énorme pour trois personnes. La vie en appartement est clairement une première pour moi. J’entreprends de me faire de bonnes relations dans l’immeuble et je commence par le concierge. C’était un choix plutôt logique, vu que je serais tout le temps amené à le croiser. En plus, peut-être aurait-il des conseils à me donner concernant les autres habitants.

Je me dirige vers son bureau, m’attendant à tomber sur un vieillard décrépit et un peu ronchon. Quelle ne fut pas ma surprise en voyant un bel homme, grand et musclé. Une coupe simple, des muscles témoignant d’un entraînement physique régulier, et surtout des yeux bleus où je crus un instant me perdre. Je le saluai, encore légèrement déboussolée. Il me sourit et me demanda qui j’étais. Je lui expliquai alors mes intentions, espérant vraiment entretenir de très bonnes  »relations » avec cet Apollon.

Une visite inattendue

Quelques jours après, alors que je revenais du travail, je vis le plombier, alias mon Apollon, se tenir devant ma porte. Je lui ai demandé si je pouvais l’aider. Il répondit que plusieurs membres du voisinage s’étaient plaints d’une fuite et qu’il se demandait si j’en étais également victime. J’étais sur le point de dire non quand je vis de l’eau couler sous ma porte. J’ouvre alors la porte et constate une véritable inondation. Heureusement, mon Apollon identifie la source de la fuite en un éclair et s’occupe de régler le problème. Nous sommes tous les deux trempés jusqu’aux os, mais rions de bon cœur.

De la douche froide à la chaude pipe

Les vêtements mouillés laissent entrevoir mes formes qui, de toute évidence, troublent le concierge. L’eau n’arrangeant rien, son érection se voit de loin. Je décide de le soulager de son embarras et l’approche lentement. Je déboutonne son pantalon et soulève son engin. Il semblerait que ses muscles ne soient pas la seule chose impressionnante chez lui. Je me mets à branler sa verge tout doucement, sous son regard enflammé. Impatient, il guide ma tête vers son prépuce et je commence mon avancée. Trop grosse. Je peux à peine en accueillir les trois quarts dans ma gorge. J’entame les va et vient à une vitesse peu à peu plus intense. J’entends des râles pleins de plaisir et me sens encore plus excitée. Il se libère alors d’un coup, me couvrant toute entière de sa semence. Le contraste entre son sperme chaud et mes vêtements trempés est paradisiaque.

Fais-moi jouir, mon Apollon !

Il semblerait que ce nettoyage ait vraiment été apprécié par mon cher concierge. À peine eu-t-il reprit ses esprits qu’il me souleva. Il déchira mon chemisier et déboutonna mon jeans. Je m’attendais à une pénétration nette et crue, mais mon Apollon était plus doux que je ne le pensais.

Il parcourut mon corps entier de sa langue experte jusqu’à atteindre mon entrejambe. Débuta alors le premier cunnilingus de ma vie. Sa langue virevolta tout le long de mon intimité et s’introduisit entre mes lèvres.

Mon clitoris recevait quelques spasmes par moment. J’utilisai toutes mes forces pour me retenir d’hurler de plaisir, les murs étant plutôt fins. Après quelques minutes, je le couvrais de cyprine. Son sourire satisfait me laisse supposer qu’il avait atteint son objectif.

Maintenant que je suis mouillée, son énorme queue n’eut aucun mal à passer. Commença alors d’incessants enchaînements de pénétration. Presque paralysée de plaisir, je ne pouvais qu’apprécier le moment. Il se retira juste avant de jouir, puis s’étala là, sur le sol à côté de moi. J’avais encore quelques doutes, mais déménager fut probablement le meilleur choix que j’ai fait depuis ma naissance !