Pourquoi les jeunes étudiantes aiment baiser ?

Pourquoi les jeunes étudiantes aiment baiser ?

29 novembre 2018 0 Par Jane

En Europe comme aux Etats Unis, les jeunes étudiantes ont toujours la réputation d’être un peu nympho. Et c’est en partie vrai, parce que c’est à l’université que les jeunes filles profitent le plus de leur sexualité.

Actuellement, beaucoup de femmes racontent que c’est au bahut qu’elles ont fait un plan à trois, de l’échangisme ou encore une expérience lesbienne pour la première fois. Si vous êtes un jeune étudiant donc, il faut en profiter car vous devriez aussi avoir votre part de plaisir !

Le sexe est plus fun à l’Université

Globalement l’âge moyen des filles en France qui sont sexuellement active est de 17 ans. Mais, la baise au lycée n’est pas vraiment top top ! En effet, comme l’un et l’autre manque cruellement d’expérience, très rares sont les filles qui ont des orgasmes quand elles sont aux lycées.

A l’université par contre, c’est tout autre chose. La majorité des hommes surtout ceux en 4 eme et en 5 eme année ont en leur actif plusieurs années d’expériences en matière de sexe. Et c’est justement pour cette raison que le sexe est plus intéressant quand on est étudiante.

la vie sexuelle quand on est à l'université

Les rares filles vierges se transforment en dévergondées

Convaincues qu’elles veulent garder leur virginité jusqu’au mariage, pas rares qui rompent très vite leur promesse à l’université à cause de la tentation. Face à l’influence des autres filles, la petite pucelle n’a qu’une seule idée en tête : «se faire défoncer la chatte le plus tôt possible ». Et une fois qu’elle goûte au plaisir procuré par le sexe, elle pourrait finir par devenir une véritable petite cochonne bouffeuse de bite.

Les nuits arrosées excitent les filles

Une soirée entre universitaires est souvent très chaude surtout après la période des examens. Du coup, pas rares sont les filles qui se déchainent et acceptent facilement de baiser avec n’importe qui. Néanmoins, pour choper une étudiante cochonne en soirée, il ne faut pas être trop relou.

Le goût de l’infidélité

Même si déjà au lycée, certaines filles sont infidèles, la plupart considèrent leur premier copain comme leur futur mari. De ce fait, elles leur restent toujours fidèles. Mais une fois à l’université, la donne change. Effectivement, c’est au bahut que les filles sont les plus infidèles. Aussi, c’est surtout pendant cette période qu’elles commencent à s’inscrire sur des sites de plan cul ou autres types de sites de rencontres. Alors, si vous avez une copine qui bosse à l’université, soyez bien sur vos gardes car elle peut vite vous tromper si elle trouve un beau gars qui peut la faire jouir.

Avoir une bonne note

A l’université, pas mal de profs sont très radins sur l’attribution d’une note. Et pour ne pas échouer une matière, certaines filles sortent le grand jeu et allument leur prof. Face à une blonde chaudasse, il est difficile pour eux de ne pas céder à la tentation. Et contre partie d’une bonne baise, ce dernier devrait leur donner une excellente note.

Outre le fait de corrompre un prof contre du sexe. Il y a également des jeunes étudiantes qui sont attirés par les profs. Ce phénomène n’est pas vraiment rare car tout comme les jeunes hommes qui aiment les milfs, elles trouvent aussi du plaisir à fréquenter des hommes plus âgés qu’elles. Selon les indiscrétions, on dit que les hommes âgés de 35, 40 ou 45 sont de véritables bêtes de sexe. Avant tout, ils sont très expérimentés et peuvent vous baiser tel un acteur porno. Aussi, comme ils ne touchent que très rarement leur femme, ils ont plus d’appétit et de force quand ils fréquentent des jeunes filles.

Le stress fait aussi augmenter la libido des jeunes étudiantes

Pas seulement les fêtes, ni les beaux mecs ni les profs sexy qui rendent les jeunes étudiantes accros au sexe. Il y a également le stress. Comme souvent, une étudiante enchaine boulot et étude, la seule chose qui pourraient les détendre c’est de faire le plus possibles des parties de jambes en l’air.

Et si on écoutait quelques témoignages ?

Les paroles et les analyses peuvent être pertinentes, mais pour un maximum de concision, rien de valent les témoignages de plusieurs anciennes jeunes étudiantes. Aujourd’hui mariées, divorcées ou même célibataire, nos guests d’aujourd’hui en fait leur classe au bahut entre 2006 et 2010.

Stephania, promotion 2008, Sorbonne Paris

Quand je suis rentrée à Sorbonne, j’étais encore pucelle. Mais il n’a pas fallu deux mois pour perdre ma virginité. Assez naïve, je me suis laissé facilement aller, alors que j’avais eu à faire à un véritable salaud. Un peu traumatisé au début, j’ai pris les choses en mains. Et depuis, j’ai décidé d’entreprendre une relation libre. Et concernant les détails de ce nouvel mode de vie, je vous laisse deviner.

Marine, promotion 2010, HEC Paris

Intégrer une des plus prestigieuses écoles de commerce en France était pour moi un grand rêve réalisé. Mais à part  bosser comme un dingue, j’ai aussi fait des petites galipettes. Par contre je n’étais pas l’une de ces trainées qui couchent facilement dans les soirées. Mon truc, c’est que je fais tout pour être pote avec un mec beau et studieux. Au lieu de sillonner les boites et les bars, on travaille ensemble et après je couche avec lui pour le remercier. J’ai fait toujours comme ça jusqu’à l’obtention de mon Master en commerce. Et au total, j’ai eu 8 amants de ce type. Eh oui, je dis bien amant, car ces mecs n’étaient pas sortis officiellement avec moi mais on couche juste ensemble de temps à autre.

Veronica, promotion 2007, ESG Bordeaux

Une fois avoir franchie le bas de l’université, je l’avoue, j’étais devenue un peu cochonne. J’étais toujours présente dans les soirées branchées et je n’y faisais pas que boire et danser. Dans la grande majorité des cas, je finissais toujours mes nuits avec un mec. C’était aussi pendant mes études que j’ai fait pour la première fois un plan à quatre. Certains vont être dégoûtés, mais c’est comme ça ! C’était quand j’étais en 2 eme année, on finit l’année universitaire et trois mecs voulaient coucher avec moi et je n’ai pas pu résister à leur charme.

Lucie, promotion 2010, INSA Strasbourg

Contrairement à d’autres filles, moi j’ai opté pour une étude d’ingénieur. Dès la première année, les mecs de mon bahut se ruaient tous vers moi. Mais pour être sincère, je n’étais pas trop chaude pour coucher avec des futurs ingénieurs. Pendant mes études donc, j’ai fréquenté deux de nos profs. Le premier nous enseignait le RDM. Encore assez jeune et sexy, je suis très vite tombée sous son charme. On se parlait par sms tous les soirs et on a fini par être des amants. Mais l’année suivante, il a eu un enfant avec sa femme et il a décidé de me quitter. Pour le second, c’était celui qui nous enseignait les maths. Très charismatique, il se débrouiller très bien au lit. D’ailleurs, c’est le premier mec qui m’a fait découvrir l’orgasme. On était ensemble pendant un an et après l’université, on ne s’est plus revu.