Les étudiantes en médecine sont plus vicieuses que les autres ?

Les étudiantes en médecine sont plus vicieuses que les autres ?

17 janvier 2019 0 Par Jane

Quand on est étudiant on vit sa vie sexuelle à fond. Pourtant, quelques fois, il est assez difficile de trouver des bon plans sexy dans le bahut car les plus chaudes sont toutes déjà prise. Si c’est votre cas, laissez tomber les filles qui étudient le commerce, mais penchez vous surtout aux étudiantes en médecine. En effet rares sont ceux qui le savent, mais les filles qui étudient dans cette faculté sont la plupart des petites cochonnes très vicieuses.

Pourquoi les étudiantes ont médecine sont des cochonnes ?

Elles sont tout le temps sous pression

Contrairement à d’autres facultés, la science de la médecine est celle qui met le plus de pression aux étudiantes. De ce fait, elles ont constamment envie de se lâcher. Mais contrairement à d’autres étudiantes, les futurs médecins sont plus discrètes et préfèrent les plans cul en cachette au lieu de jouer les salopes dans les soirées étudiantes.

Leurs camarades d’université sont des coincés

Pour la plupart, les étudiants en médecine sont des grosses têtes. Les brutes et les fêtards n’ont pas le temps d’attendre 8 ans avant de décrocher leur diplôme. Et comme ces derniers ne pensent qu’à travailler et à réussir à l’examen, ils n’ont plus le temps de s’occuper des nanas qui étudient avec eux.

Etudier l’anatomie réveille le fantasme

Etudier l’anatomie de l’homme n’est pas seulement bon pour la connaissance. Ça fait aussi accroitre la libido. En effet, même vous pendant les cours de sciences n’avez-vous pas eu des pensées cochonnes lorsqu’on étudiait les appareils génitaux masculins et féminins ?

Elles sont des filles faciles car elles ont peur de ne pas trouver un homme

Beaucoup d’étudiants sont réticents à l’idée de sortir avec une étudiante en médecine. Et c’est parfois normal car ce n’est pas dans deux ans qu’elles vont pondre de l’argent. En conséquence, les étudiantes en médecine deviennent plus faciles que les autres filles par peur de ne jamais trouver quelqu’un.

Quelques futurs médecins se confient à nous !

Pour vous faire comprendre à quel point les étudiantes en médecine sont des chaudasses qui ont besoin constamment de baiser, nous allons laissé la parole à ces 5 filles qui sont en phase de devenir médecin :

Clara, 2eme année :

« A plusieurs reprises, j’ai failli lâcher mes études car la pression est trop forte. Pour compenser tout cela, je m’adonne au sexe. Quand je fais l’amour plus souvent, je suis plus détendue. Mais le souci, c’est que j’ai parfois du mal à trouver quelqu’un. Pour combler mes besoins donc, il m’arrive d’accepter de coucher avec quasi n’importe qui. Mais je fais quand même assez attention. Pour faire ce genre de pratique, je me déguise un peu en garce pour ne pas me faire reconnaitre. Ensuite je me rends dans des boites et je me fais emballer par le premier mec qui me drague. »

Sonia, 4 eme année :

« Avant, j’étais une fille comme les autres. Mais quand j’étais en fac de médecine, je n’ai plus de contact social. En plus de deux donc, je n’ai pas eu de rapport sexuel avec un homme. Et quand venu l’occasion pour moi de faire l’amour, j’avais complètement vidé le mec tellement j’étais en manque. »

Stéphanie, interne des hôpitaux :

« Je sais que je ne devrais pas dire ça, mais comme ma réelle identité n’est pas révélée, je vais me lancer. Etre interne des hôpitaux, c’est dix fois plus difficiles que suivre un cours magistral. Donc, je n’ai presque pas de temps à consacrer pour moi. Mais comme je suis une femme, j’ai des besoins. Pour satisfaire mes envies donc, il m’arrive de coucher avec des infirmiers ou des collègues médecins quand je suis de garde. Et je tiens à vous que je ne suis pas la seule, c’est une pratique très courante. Mais ça reste quand même rien par rapport à ce que j’ai fait récemment. Une nuit j’étais de garde et j’avais un patient qui était assez bel homme. Il était admis à l’hôpital pour une appendicite et après son opération, il ne doit rentrer que le lendemain. Comme il n’y avait pas eu beaucoup de malade, il m’a demandé de le tenir un peu compagnie. Avant de dormir, il m’a demandé si je pouvais lui faire un câlin. Je me suis exécuté et d’un coup, il m’a pris et serra très fort mes fesses avec ses mains. Pour la plupart des femmes, elles le repousseront surement. Mais en ce qui me concerne, ça m’a plus. Je vais vous épargner les détails, mais en gros on a fait ensuite l’amour. Tout ce que je pourrais vous dire, c’est que c’était comme dans un film porno où le docteur et son patient font l’amour comme des sauvages. »

Alex, 1ere année :

« Je suis entièrement d’accord avec vous sur le fait que les étudiantes en médecine sont plus cochonnes que les autres filles. Et c’est très normal car on n’a pas trop le privilège d’avoir une vie sexuelle normale. Donc quand on a l’occasion, on profite à fond et on se conduit comme une petite salope. »

Linda, 5eme année :

« Je seulement, je suis en médecine, mais je suis également moche. Donc pendant toute ma vie, je n’ai connu que très peu d’homme. Un jour, j’avais un genre de déclic. J’ai contacté deux gigolos et on a fait un plan à trois torride. C’était vraiment le meilleur coup de ma vie ! Et après cette expérience, j’étais complètement devenu addict de ces types d’hommes même si en contrepartie je dois les payer. »