Jeune cochonne prise en levrette se fait surprendre par son père
Voici 5 histoires de jeunes filles, cochonnes et salopes, qui vont raconter leur pire honte sexuelle :
« Je voulais vraiment un coca light. »
Ma mère détestait mon ex, et pour être honnête, c’était un vrai con. Cependant, notre rupture a été longue et a duré plus d’un an, y compris des tas d’ex-sexes. Un jour, il était venu quand ma mère était sortie. Je vivais à la maison et je fréquentais l’université à l’époque. Elle rentrait à la maison à l’improviste et j’ai réussi à le cacher littéralement sous le lit à temps. Elle m’a demandé si je voulais quelque chose du magasin pendant qu’il se cachait sous moi, l’air très décontracté, allongé en sous-vêtements pour une raison quelconque, et je lui ai demandé un coca light.
Elle est partie, et nous avons recommencé à nous déshabiller pour des manigances, mais elle est revenue cinq minutes plus tard au milieu de la poussée. Il s’avère qu’elle parlait du magasin du coin qui était à 50 mètres de là. Elle ouvrit la porte, inspecta la scène, s’enflamma de rage et jeta le Coca Light sur le mur. Il a explosé à l’impact. Puis elle a littéralement retiré mon petit ami nu de moi et l’a emmené dehors, lui demandant de partir et elle a essayé de le forcer à descendre les escaliers – encore une fois, tout nu. « Il a besoin de son pantalon ! » J’ai supplié. « Coca Light ! Un coca light ! Menteur ! criait-elle. « Je voulais un coca light », ai-je protesté.
Finalement, j’ai réussi à l’empêcher d’attaquer physiquement mon petit ami assez longtemps pour qu’il prenne son pantalon et parte. Mais le Coca Light n’était pas récupérable.
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« Ce n’est pas un hôtel ! »
Je vivais à la maison avec mon petit ami quand j’avais 20 ans et nous étions censés nettoyer notre chambre. Bien sûr que non. Quand ma mère est venue nous voir, j’étais à quatre pattes en train de sucer mon copain.
Ma mère est sortie de la chambre en criant : « Ce n’est pas un hôtel ! » Pour rendre les choses encore plus embarrassantes, mon père m’a fait asseoir plus tard que la nuit pour s’assurer que je savais que je n’avais pas à faire quoi que ce soit que je ne voulais pas faire. C’est devenu un énorme D&M, et j’étais mortifié.
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« Il ne voulait pas… partir. »
J’étais dans une auberge de jeunesse à New York et j’ai fait une tournée des bars où j’ai rencontré un nouvel ami. On a essayé de retourner dans sa chambre, mais il y avait cinq autres types. Nous avons migré vers la cage d’escalier, mais ce n’était évidemment pas très confortable. Nous avons donc parcouru toute l’auberge à la recherche d’un endroit jusqu’à ce que nous arrivions dans la salle du conseil d’administration.
Mais avant que les choses n’aillent vraiment mieux, ce vieux hippie (défoncé de son visage) est entré et s’est contenté de me regarder fixement pendant que j’essayais d’enlever la couverture de dessous moi pour couvrir mon corps complètement nu. Au bout de quelques secondes, nous nous sommes dit : » Pouvons-nous vous aider ? répondit-il, je cherchais juste un yaourt « , et il continua à me regarder fixement. Il ne voulait pas partir avant que le gars avec qui je sortais l’attrape littéralement et l’emmène à la cuisine.
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« Tout est pire avec le contact visuel. »
Je faisais l’amour en levrette avec mon copain dans ma chambre quand mon père est entré.
Ce n’est même pas ça le pire, qu’il me voit prise en levrette comme une petite salope.
J’AI ÉTABLI UN CONTACT VISUEL AVEC LUI.
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« Attends, pourquoi on était dans la voiture ? »
C’était l’été, j’avais 16 ans et un garçon de 17 ans dont j’avais le béguin était aussi en vacances dans la même ville de plage. En quelques jours, nous étions petit ami et petite amie – parce que c’est comme ça que ça marchait à l’époque. Je suis allé dans sa maison de vacances et j’ai rencontré ses parents plusieurs fois, mais je ne les connaissais pas très bien quand sa mère nous a surpris en train de faire l’amour.
Je dis qu’elle est entrée, mais elle vient d’ouvrir la portière d’une voiture.
Pour une raison dont je ne me souviens plus, nous avions dormi dans le coffre de sa voiture garée à la maison de vacances la nuit précédente. Le matin, nous avons fait l’amour – gardez à l’esprit que c’est peut-être la quatrième fois de ma vie. Pendant que nous y allions, sa mère a frappé et a ouvert le coffre de la voiture – pour voir le derrière nu de son fils la regarder fixement. Elle a gémi, fermé la porte et s’est dépêchée de s’enfuir.
Je ne sais pas si lui et sa mère en ont jamais parlé, mais pour le reste de notre séjour à la plage, je l’ai évitée comme l’adolescente gênée que j’étais.
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« C’est encore aujourd’hui le moment le plus humiliant de toute ma vie. »
Mon copain et moi sortions ensemble depuis deux secondes quand son père nous a surpris.
Cela reste, à ce jour, le moment le plus humiliant de toute ma vie. Quand son père est entré, j’étais non seulement tout nu, mais nous étions en train de changer de position, alors mon vagin était DIRECTEMENT POINTÉ VERS LA PORTE ET MES JAMBES ÉTAIENT OUVERTES. Dès qu’il est entré et qu’il a allumé la lumière, nous sommes tous devenus si mal à l’aise qu’il a décidé de rester une vingtaine de secondes et de parler du cricket pendant que Tim* et moi retournions sous les couvertures.
Quand il est sorti et a éteint la lumière, j’ai littéralement rétréci dans la position foetale et j’ai juré que je ne pourrais plus jamais regarder le père de mon petit ami dans les yeux. Je ne pouvais pas bouger pendant une demi-heure et pleurer sur l’injustice de tout cela. Je crois que j’ai évité les parents de mon partenaire pour le mois suivant.
Heureusement, deux ans plus tard, nous sommes tous passés à autre chose – mais ce sera toujours l’expérience la plus traumatisante que j’aie jamais vécue dans une chambre.
Je le répète – VERROUILLEZ VOS PUTAINS DE PORTES !